Conclusions déduites suite aux recheches faites à Rennes-le-Château par monsieur Alain Boclé
CONCLUSIONS DEDUITES SUITE AUX RECHERCHES FAITES A RENNES-LE-CHATEAU AU MOIS DU 25 AU 11 AOÛT 2007
Par Monsieur Alain Boclé
- Suite et Confirmation du dossier « Le Blason d’Arques »
TRESORS DE RENNES-LE-CHATEAU
1°) SECRET DE LA PIERRE DROITE DE PEYROLLES OU D’ARQUES
2°) CONCLUSIONS DE L’OBSERVATION DE LA PIERRE DROITE DE PEYROLLES LORS DES VACANCES DU 17 AU 24 JUIN 2007-09-05
3°) Grotte sacrée du lieu-dit « les Toustoures » (Toustounes vient du latin « Jupiter tonnant ».)
Quelques étymologies et lieux géographiques :
1°) Les Toustounes = l’enfer qui tonne ou Jupiter tonnant.
2°) La Berco Grande ou la Berco petito = grotte ou colline de la conque marine qui rend heureux (des Tritons). Ou la grotte de la conque marine de Sémélê.
3°) Pech Cardou = La montagne du point cardinal, solsticial.
4°) Cardausel = le point sosticial pierreux.
5°) Roc di Quilantié = Roche de la bourse.
6°) Ruisseau de Bézis ) Ruis de Bès (dieu égyptien cultes cthoniens, culte des morts), Bès lié à la Gorgone.
7°) Bordes d’en Palaires = Plateau du Palais (des dieux), plateau du palais du roi des dieux, Jupiter, du Roi Alaric.
8°) Col d’Al Pastre = Col des prêtres portant l’image de Zeus, dieu de la foudre ( à pieds à partir de Montferran).
9°) Montagne des cornes = Montagne en forme des cornes.
10°) Lac de Barenc = Lac de l’Enfer ( à proximité à pied de Rennes-les-Bains)
11°) Plateau de Blanchefort au niveau du Roc Nègre (antique Rhedae, clairières et reste d’une tour Wisigothique, probablement médiévale en fait).
12°) « Mont Redond » au-dessus d’Arques, oppidum celtique des Redones (Rhedae).
La pierre droite de Peyrolles ou d’Arques :
Une légende ancienne colportée par Louis Fedie membre de la Société Scientifique de l’Aude, rapportait l’existence supposée d’une crypte funéraire wisigothique d’Alaric 1er sous cette pierre droite. Mais depuis, la géologie du lieu montre un terrain de landes détritique, donc il ne peut y avoir de grottes ou de cryptes. Cet endroit n’est donc pas le lieu du trésor ou d’un trésor local.
Mais en revanche, la pierre droite de Peyrolles regarde et indique la direction de la grotte au lieu-dit les Toustoures où l’enfer qui tonne, sur la commune de Peyrolles ou la Seigneurie d’Arques.
Monsieur Courtejaire avait établi que là, où on regarde la pierre levée des Pontils, près du village d’Arques, au nord-est de Rennes-le-Château, il y a une faille géologique, par déduction il était persuadé qu’il y avait en ce lieu un ancien temple Ibéro-celtique des Volques Tectosages et peut être des caches trésoraires.
Dans la défense de la frontière des Corbières au XVI e et au XVII e s, publié dans la SESA, au sud de Portel près de Sigean, il existe un casteillas identifié à tort à un palais mentionné au VIII e s. qui a beaucoup souffert des fouilleurs clandestins à la recherche du trésor des Wisigoths.
LE PECH DE BUGARACH :
Dans la géographie sacrée du Bugarach à la fois le pic qui culmine à
Le nom apparaît sous la forme de « Bugarach » latinisée en Bugaragium, le sens en est à l’origine « Burg-regia » « la forteresse résidence royale d’Alaric II ». Un élève à Jean Markale, Gérard Lupin, qui se livre actuellement à des recherches très poussées sur la montagne d’Alaric, me communique des informations susceptibles de bouleverser les notions officielles concernant la lutte des Wisigoths et des Francs et le fameux trésor d’Alaric Ier . Originaire des Corbières, Gérard Lupin, fait d’abord état d’un dicton populaire qui l’a entendu lui-même entre Alaric, montagne d’Alaric près de Capendu, et Alaricou est la fortune de trois rois.
Alaricou est une partie détachée de la montagne d’Alaric, et contrairement à l’erreur de Gérard Lupin, l’Alaricou est le Bugarach, seul sommet visible parmi les collines des Corbières. Dans les Corbières ont ne voit que le Bugarch, la montagne d’Alaric, le Canigou, et le Montségur en Ariège, le reste est constitué de grosses collines indistinctes.
Gérard Lupin à dit à ce sujet :
Le dicton faisait allusion au roi Salomon, César, et Alaric, dont les trésors réunis en un seul auraient été cachés à l’époque de la Septimanie wisigothique dans la montagne d’Alaric (selon son opinion, qui est fausse d’après moi).
Le trésor fabuleux serait donc venu de Rome, via la Calabre, jusqu'à cette île montagneuse dans la plaine languedocienne, que sont les Corbières pour y être caché, ce qui n’aurait rien d’étonnant dans la mesure où cette montagne et cette région de formation calcaire, est un véritable gruyère semé de grottes, plus ou moins bien explorées. Les gens du pays pour appuyer cette affirmation, prétendent sur les dires de l’historien Grec Procope, écrivant au VI e s. que la bataille entre Alaric II et Clovis, n’aurait pas eu lieu à Vouillé en 507, mais entre Carcassonne et Narbonne et que Alaric II serait enterré dans la montagne d’Alaric.
Des éléments nouveaux sont venus au secours de la légende languedocienne et des dire de Procope, je veux parler des travaux de construction de l’autoroute des deux mers, qui ont permis près de la ville de Capendu de mettre à jour de très nombreuses sépultures Wisigothiques, si nombreuses que les travaux de l’autoroute ont été stoppés plusieurs mois.
Bon nombre des ses sépultures ne correspondaient pas au rituel habituel observé par les Wisigoth, et l’ont trouvait plusieurs squelettes dans un même trou. Ce qui pouvait faire penser qu’il y avait eu lieu à cet endroit-là une grande bataille, et que l’ont avait enterré à la hâte, en oubliant quelque peu les rites funéraires.
Il ne serait pas absurde de placer la bataille soi-disant de Vouillé près de la ville de Capendu. De toute façon, le trésor d’Alaric Ier dont l’existence est établie à subie bien des déménagements selon l’opinion de Mr Lupin et de Jean Markale, ce qui est faux à mes yeux, étant un trésor trop important et ne pouvant être déplacé.
Alaric est vaincu et tué à Vouillé en 507 officiellement, les richesses qui sont demeurées à Toulouse tombent aux mains de Clovis, mais ce qui a été mis à l’écart échappe à ses convoitises, cachés dans les Corbières, le Trésor d’Alaric et son tombeau sont entre la montagne d’Alaric, et l’Alaricou, c’est-à-dire le Bugarach au lieu dit « Les Toustounes » près d’Arques dont le nom signifie Jupiter Tonnant.
De plus, c’est le seul lieu dit « les Toustounes » dans toutes les Corbières.
Recherches d’amateur de trésors à propos du Trésor de Rennes-le-Château :
L’auteur persuadé que l’acte d’antériorité passé chez Maître Gaston notaire à Limoux, lui garanti quoi qu’il soit le fruit de ses recherches. Monsieur Fontan se laisse volontiers aller à la confidence. Le trésor est enfoui à flanc de collines à 4/5 km à vol d’oiseau de Rennes-le-Château à vue directe des tours du château, et la Tour Magdala que fit construire l’abbé Saunière. (exact !). Les repères sur le terrain indique à peu près exactement son emplacement (?), il doit donc se trouver dans une cavité en forme de Tau, protégé par une volute schisteuse, qui épouse certainement l’épaule de la colline ( ?), cette cache est sure et pratiquement inviolable été accessible, que par la seule branche descendante de la croix qui après le dépôt des valeurs entreposés fut entièrement rebouché. (Pour moi c’est faux, il s’agit d’une caverne.)
Léon Fontan évalue le volume de terre extraite à
Si ces recherches sont si inaccessibles, comment l’abbé Saunière a-t-il pu avoir sa part ? interroge Henri Rozès. Quant on sait que le trésor n’a pas bougé de place, il s’agit du trésor funéraire d’Alaric Ier on peut se poser des questions. « il s’agit d’une histoire d’Initiés ».
Pour Fontan la réponse est claire, Saunière connaissait l’existence de deux trésors, il n’en exhuma qu’un seul, seul, disons, la caisse de fonctionnement de la commanderie templière du Bézu ce qui le dispense de recourir à des travaux coûteux et voyants pour atteindre le second trésor. Et donc, pour moi, le premier trésor sont des Archives de la Compagnie du Saint Sacrement dissoute sous Louis XIV, et cachées dans la crypte de l’Eglise.
Bérenger Saunière a reçu à la suite beaucoup de mandats pour la remise des archives, car cela donnait la nature exacte et secrète de la Compagnie du Saint Sacrement, dont ont ignore la nature exacte, contrairement à la Franc-maçonnerie.
La Compagnie du Saint-Sacrement se prétendait catholique, mais était contre Mazarin et l’Eglise officielle romaine, et soutenait Fouquet, surintendant des finances corrompu. Donc il était lié au secret du Razès et des grandes familles du Languedoc, les Joyeuses en particulier Henriette de Joyeuse mariée au Duc de Guise, rosicrucien réputé, et exilé à Rome, d’où son frère l’Abbé Louis Fouquet membre de la Compagnie du Saint Sacrement, comme lui-même, il lui envoya une lettre énigmatique promettant un secret fabuleux que seuls les rois n’auraient pas ; cette lettre est authentique mais son contenu est mystérieux et inexpliqué.
Cinq semaines après avoir reçu cette lettre, le surintendant Nicolas Fouquet a été arrêté à Nantes par D’Artagnan et emprisonné à vie au secret. Le masque de Fer aurait été dans cette hypothèse son valet de chambre Eustache d’Angers, responsable de la correspondance de Fouquet. Et il connaissait les secrets de son maître.
LA ROSE LIGNE DU MERIDIEN DE PARIS :
Le méridien de Paris est devenu un repère fondamental des arcanes qui affleurent à Rennes-le-Château, comme il passe en effet sur Carcassonne, il est tout près de Rennes et d’Arques, sur la pierre droite de Peyrolles. On a eu beau jeu de lui donner dans l’affaire une importance quasi cosmogonique. Mais à quelle époque là est la question.
Le méridien de Paris est lié à la singularité du centre sacré de la Gaule druidique près de Bourges, et l’ésotérisme du méridien de Paris assure symboliquement la garde du gouvernail planétaire. Et par la cabale phonétique de l’arcane « ligne rouge » du méridien d’origine, est synonyme de secret.
L’étymologie d’Arques dans le Gaffiot, page 65 donne Arca ae, coffre, armoire (pour l’argent) ; prison étroite, cellule ; chrétien (arche, d’où Arche d’Alliance).
L’auteur du compte-rendu de l’excursion de la SESA le 12 juillet 1896 tient à remarquer que ce mégalithe se trouve juste sur le méridien de Paris, borne mégalithique du méridien de Paris aux affabulations trésoraires.
Il n’est qu’a
Nous devons mentionner une circonstance qui nous a vivement frappé aux alentours et presque à la base du monument, le terrain ferme et qui semble garni d’une incrustation de cailloux (actuellement traces de fouilles clandestines). Il présente un singulier phénomène il sonne creux sous le pied des chevaux comme si un cavalier passait sur une voûte.
Existe-t-il a proximité de la pierre celtique une caverne creusée par la nature ou bien est-ce la main de l’homme qui a fouillé le sol sur ce point et creusé une cavité d’une certaine étendue.
Cettte croyance est encore signalée en 1926 par G. Sicard correspondant de la commission des monuments historiques dans son essai sur les monuments mégalithiques du département de l’Aude. Note : J’ai vérifié que c’est le seul mégalithe qui correspond à cette description dans l’Aude. L’erreur est qu’il n’y a pas de caverne sous la pierre.
Pour conclure, que de là où l’on regarde la pierre des Pontils près du village d’Arques, au lieu-dit les « Toustounes » il y a une faille géologique et une grotte par déduction en ce lieu, il peut y avoir un ancien temple ibéro-gaulois volque et peut être des caches.